jeudi 7 novembre 2013

Registre des ombres






L'Oreille du Loup vous invite à une lecture musicale du livre

Registre des ombres
de Yekta


 
Yekta est né en 1979 dans la Vallée-aux-Loups, près de Paris. Il a publié de nombreux poèmes en revue et participé à plusieurs anthologies poétiques. Son premier livre, Veilleur sans visage, est paru en 2009 aux éditions Le Grand Incendie. Yekta est une des voix poétiques les plus prometteuses de sa génération.

L’Oreille du Loup publie Registre des ombres / Registro de las sombras
avec la traduction en espagnole de Myriam Montoya.

Toute beauté de la langue aujourd’hui est à signaler, parmi l’innombrable production poétique, pour signifier une fois encore que des éditeurs ont du flair ou de l’Oreille ; car la beauté est affaire animale plus que rationnelle. Sa rigueur s’impose comme un plumage, en l’occurrence avec le phrasé magique de ces quatre chants d’ampleur croissante. - See more at: http://www.recoursaupoeme.fr/critiques/yekta-registre-des-ombres/tristan-f%C3%A9lix#sthash.bXyqurq0.dpuf



Sur Registre des ombres :
« Toute beauté de la langue aujourd’hui est à signaler, parmi l’innombrable production poétique, pour signifier une fois encore que des éditeurs ont du flair ou de l’Oreille ; car la beauté est affaire animale plus que rationnelle. Sa rigueur s’impose comme un plumage, en l’occurrence avec le phrasé magique de ces quatre chants d’ampleur croissante. [..]
Alors, quand la voix est bien placée et le ventre ouvert aux quatre vents, Yekta s’élance à coup de phrases non ponctuées mais paragraphées, segmentées en visions qui s’accrochent les unes aux autres et se défont aussitôt dans un emportement étincelant, épique, incantatoire. L’esprit du lecteur foisonne d’images saisissantes qui résonnent à l’endroit où il sait que le sens est en sursis, jamais assigné à un seul lieu : dans l’obscurité nos moignons de voleurs veulent une poigne de possédé, écrit-il pour refermer ce registre des ombres De tels chevauchements invitent à la relecture de ces courts textes talismaniques qui renferment ce qui toujours échappe mais affère à la souffrance, à la panique, à la folie, au pouvoir, à l’animalité, à la transe poétique. Que demander de plus à la poésie que d’être relue, ruminée, incorporée, inépuisée ? »
Tristan Félix in Recours au Poème
Lire toute la critique de Tristan Félix sur le site Recours au poème


Toute beauté de la langue aujourd’hui est à signaler, parmi l’innombrable production poétique, pour signifier une fois encore que des éditeurs ont du flair ou de l’Oreille ; car la beauté est affaire animale plus que rationnelle. Sa rigueur s’impose comme un plumage, en l’occurrence avec le phrasé magique de ces quatre chants d’ampleur croissante. - See more at: http://www.recoursaupoeme.fr/critiques/yekta-registre-des-ombres/tristan-f%C3%A9lix#sthash.bXyqurq0.dpuf
Toute beauté de la langue aujourd’hui est à signaler, parmi l’innombrable production poétique, pour signifier une fois encore que des éditeurs ont du flair ou de l’Oreille ; car la beauté est affaire animale plus que rationnelle. Sa rigueur s’impose comme un plumage, en l’occurrence avec le phrasé magique de ces quatre chants d’ampleur croissante. - See more at: http://www.recoursaupoeme.fr/critiques/yekta-registre-des-ombres/tristan-f%C3%A9lix#sthash.bXyqurq0.dpuf